Ici, petite fille, on peut être portée au rang de « kumari », incarnation vivante d’une divinité, enfermée jusqu’à la puberté dans un palais de Katmandou et vénérée par des milliers d’adorateurs. Et après ? Nous avons suivi plusieurs de ces déesses déchues, redevenues simples mortelles.
Par Emmanuelle Eyles
Photos Olivier Chouchana
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